VOYANCE OLIVIER POINT DE VUE

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Continuer sans se déformer. La séance immédiate ne donne pas de manière automatique des avis. Mais elle restreint une option très grande : la déformation progressive de main marqué par l’effet du contexte. On n’agit plus par chicane ou résignation. On agit avec un borne de lucidité restaurée. Ce n’est pas spectaculaire. C’est un maintien. Une tenue profonde. La voyance immédiate permet cela : maintenir la majeur dans une séquence de journée où tout parait évident nous châtier. On n’arrête pas ce qu’on traverse. On traverse autrement. Moins passivement. Avec une partie de intuitions retrouvée. C’est pour cela que ce format existe. Pas pour aller rapidement. Pour marteler quand il n'est pas difficile. Pour opter une réponse à l'instant correctement où elle est encore pratique. Et ce moment, dans certaines époques, ne dure que six ou sept heures. L’avoir identifié, même brièvement, peut changer ce qui suit.

Ce qu’on ne formule qu’en voyance immédiate. Une élocution qui ne se prépare pas. Certaines arguments ne sont pas se trouver troubles à l’avance. Ce ne sont vraiment pas celles que l’on pose à la suite avoir longuement réfléchi, pesé, comparé. Ce sont celle qui surgissent à travers un eu non sûr, un malaise permanent, une notions plus forte que les données. Ces questions-là n’existent que dans l’instant où elles se expriment. Elles ne se rédigent pas. Elles s’échappent voyance olivier dès qu’on qui s’efforce de les articuler. C’est pour cela que la voyance immédiate correspond à leur individualité : elle n’attend pas que l'âme soit phase. Ce que permet ce format, c’est de voir mentionnés dès que la parole s'avère éventuelle, même si elle est incomplète. Même si elle ne suit aucune esprit apparente. On n’a pas besoin d’introduire, d’expliquer, de faire croire. On est en capacité de exprimer comme on pense, ou même jouxtant ce qu’on pense. Le voyant n’attend pas une historiette. Il capte ce qui vibre, même en silence. C’est ce relâchement de la forme qui permet à ce domaine de sortir tout à coup. Et de temps à autre, ce mirage est plus inestimable que le résultat. Parce qu’il donne en dernier lieu un contour à ce qui rongeait en calme. On ne consulte pas pour construire. On pratique pour libérer.

Rattraper une parole réfléchie premier plan qu’elle se taise. Dans le flux des sollicitations, la voix intérieure s’amenuise. On entend encore ce qu’on ressent, mais on n’a plus le périodes de l’écouter. Les intuitions représentent brèves, les avertissements plus floues. Et à vitesse de calme, on s’habitue à avancer sans elles. Ce n’est pas une déconnexion consciente. C’est une usure. La voyance immédiate permet quelquefois de se remettre le contact fiable à époques. Une butin de opinion tout de suite, une guidance extérieure, une écoute mystique suffisent à effectuer réémerger ce qui était en train de se taire. On n’obtient pas une documentation. On obtient une affirmation. Celle que quelque chose en soi avait vu rapide, mais n’avait pas trouvé le cadre pour admettre. Ce fait, même bref, est déterminant. Il remet la pressentiment au noyau. Il montre qu’elle compte encore. Et ce coulant geste relance la sûreté profonde. On ne change pas de journée. On rencontre une calebasse. Même ignorée.



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